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■ A 8th Bienal do Douro sem limites
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- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 2022-04-10 | [Este texto deve ser lido em francais] | Submetido por Guy Rancourt Le soleil s’en va, les monts s’obscurcissent, L’oiseau se tait, le champ devient muet, Le proche repos réjouit les gens, Et moi je regarde et mon cœur s’envole Vers un jardinet sombre de l’Ukraine. Et je m’envole et je m’envole et rêve; Pendant ce temps mon cœur trouve la paix. Le champ devient noir, noirs les bois, les monts, La première étoile apparaît au ciel. L’étoile ! L’étoile ! Et les larmes tombent. Oh ! t’es-tu levée en Ukraine aussi ? Là-bas les yeux bruns te recherchent-ils Aussi dans le ciel ? Ou bien ils oublient ? S’ils ont oublié, qu’ils s’endorment donc Et sur mon destin qu’ils ne sachent rien. Forteresse d’Orsk 1847. Traduit par Eugène Guillevic (In Maxime Rilsky et Alexandre Deitch, Tarass Chevtchenko, Paris, Seghers, (Poètes d’aujourd’hui no 110), 1964, pp. 73)
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